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A visual study of Thorgal's epic tales in 
Kah-Aniel, volume 31.

Étude visuelle

Série

Thorgal

Date de parution

6 octobre 1980

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Édité en

FR

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Nous découvrons donc Thorgal et Jolan, cheminant dans une eau rougie par le sang d’animaux sacrifiés et exposés au cours d’une macabre cérémonie. Qu’elle soit destinée à plaire aux dieux, ou à effrayer les visiteurs venus de la mer, la mise en scène est à l’évidence l’un des temps forts de l’album.

Thorgal en tête d’affiche

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Le regard tourné vers le ciel, on retrouve sur cette toile un Thorgal ragaillardi, presque rajeuni par rapport aux tomes précédents. L’aventurier est accroché à une paroi abrupte et dangereuse, et c’est pourtant vers le ciel que se tournent son regard et son épée, vers une nuée d’oiseaux marins apparemment extrêmement agressifs. Au sein de la volée, une montagne aux teintes rosâtres émerge de la brume et semble former les contours d’un masque ou d’une idole, comme si un dieu fou s’était emparé des esprits des volatiles furieux, et avait fait d’eux des messagers de mort.

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Rosinski deviates little from his original idea.

The framing, proportions, and postures are nearly definitive at this stage. The scene begins to emerge, somewhat vague yet already vibrant with life. It's here that the ethereal begins to take shape into a concrete reality, the story unfolding visually with each stroke and shade. The world of Thorgal comes to life, a testament to the creative genius of its creator.
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En couverture

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Nous découvrons donc Thorgal et Jolan, cheminant dans une eau rougie par le sang d’animaux sacrifiés et exposés au cours d’une macabre cérémonie. Qu’elle soit destinée à plaire aux dieux, ou à effrayer les visiteurs venus de la mer, la mise en scène est à l’évidence l’un des temps forts de l’album.

Vignaux, ingénieur du son

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Nous découvrons donc Thorgal et Jolan, cheminant dans une eau rougie par le sang d’animaux sacrifiés et exposés au cours d’une macabre cérémonie. Qu’elle soit destinée à plaire aux dieux, ou à effrayer les visiteurs venus de la mer, la mise en scène est à l’évidence l’un des temps forts de l’album.

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Nous découvrons donc Thorgal et Jolan, cheminant dans une eau rougie par le sang d’animaux sacrifiés et exposés au cours d’une macabre cérémonie. Qu’elle soit destinée à plaire aux dieux, ou à effrayer les visiteurs venus de la mer, la mise en scène est à l’évidence l’un des temps forts de l’album.

Tram de fond

Thorgal en tête d’affiche

Le regard tourné vers le ciel, on retrouve sur cette toile un Thorgal ragaillardi, presque rajeuni par rapport aux tomes précédents. L’aventurier est accroché à une paroi abrupte et dangereuse, et c’est pourtant vers le ciel que se tournent son regard et son épée, vers une nuée d’oiseaux marins apparemment extrêmement agressifs.

Thorgal en tête d’affiche

Le regard tourné vers le ciel, on retrouve sur cette toile un Thorgal ragaillardi, presque rajeuni par rapport aux tomes précédents. L’aventurier est accroché à une paroi abrupte et dangereuse, et c’est pourtant vers le ciel que se tournent son regard et son épée, vers une nuée d’oiseaux marins apparemment extrêmement agressifs.

Vignaux, ingénireur du son

Les onomatopées sont assez nombreuses dans cet album. Elles sont, surtout, utilisées de façon ingénieuse.

L’onomatopée, tiens, allons voir le Larousse, c’est un « processus permettant la création de mots dont le signifiant est étroitement lié à la perception acoustique des sons émis par des êtres animés ou des objets ». Purée, les cochons, ils arrivent à tout rendre compliqué. Pour faire simple, c’est un mot qui évoque un son. Le procédé est courant dans la BD et se retrouve assez régulièrement dans Thorgal, depuis toujours.

Comme dans le tome précédent, Vignaux utilise assez souvent ces onomatopées, ces sons, pour animer ses cases. Mais il fait plus que cela. Il s’efforce de faire en sorte que le son ne soit pas seulement un élément permettant au lecteur de comprendre qu’un bruit fort ou étrange se produit. L’onomatopée devient un héros de la scène, ou un élément visuel dépassant ses fonctions d’origine.

On vérifie ? Par exemple, dans cette scène, le frottement de la porte sur le sol — ou le grincement des gonds ? — attire tout autant le lecteur que la fillette. Elle a peur, elle craint ce bruit. On le ressent.

Un peu plus loin, c’est avec fracas que la porte vient perturber les ténèbres de la prison. Imaginez cette scène sans onomatopée. Allez-y, cachez le « KLAK » avec la main. La case y perd énormément en impact

Un autre « KLAK », une autre claque, celle que prend Louve quand la porte se referme sur ses geôliers et sur la promesse ignoble qu’ils viennent de lui faire. Le bruit est forcément unique et rapide, mais l’onomatopée se permet pourtant de traverser les deux cases, de durer suffisamment pour marquer avec force l’importance de la scène et son impact sur le moral de la pupuce.

Voici une évolution de la planche. On voit que Fred déborde largement lorsqu’il dessine les corps, pour être certain de leur donner une anatomie réaliste. On voit aussi que la petite Kyrstell a changé de coupe de cheveux, peut-être pour ressembler à la fille d’un copain du dessinateur. Il faudra lui demander.

L’autre changement intéressant, dans la cinquième case, est le recul de la fillette dans la scène, afin de donner du mouvement à la case et de définir les espaces fillette/famille.

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